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Cédric Carré was born in Roubaix, northern France, in 1968. He discovered History of Art as a young student Interior Architecture and in 1986 he started to paint on daily basis.
Cédric approaches painting as a question of depth and light. He reinvents the suject of landscapes, studying their layers by exploring their transparency. He is particularly interested in the relationship between sky end earth, the above and below. He has previously worked on Babel tower, designed imaginary sky charts, elliptic stadium sites, arenas, creeks and circuses. Cédric is contantly moving Cédric is constantly moving away from figurative representation, instead experimenting with abstraction and the unreal, leaving the observer to wonder if the subject matter exists, is under construction or already falling into ruins. The pieces presented in this show are Cédric’s very latest works; they depict a world that is immersed just below the surface of the water, each brush stroke searching for the fragile abundance of our oceans’ precious coral reefs.
Since 1992, Cedric has exhibited in Paris, London, Lille, Genoa, Saint-Émilion, and his work can be found in several private collections (Lille, Paris, Bordeaux, London, San-Francisco, Washington). He is supported by Roubaix's recently renovated Museum of Art and Industry, Musée La Piscine, which holds two of Cédric’s paintings in its collections.
Emerging Reef at D Contemporary hails Cédric Carré's long-awaited second solo show in London, following a successful exhibition of his Urban Landscapes at The Gallery in Redchurch Street in 2010.
Les Aveugles, 2002-2010.
Paysages en périphéries des villes. Paysages de friches, de zones commerciales, d'une campagne en voie d'industrialisation. Paysages des Flandres où errent et se perdent les aveugles peints par Pieter Bruegel l'ancien.
TRAVAIL EN COURS
- La photographie d'une pyramide humaine guide les compositions de chaque peinture.
- Travail sur les degrés de langages, sur ce qui se dit en deçà et au delà des mots - La peinture commençant quand le dessein initial, toujours présent en filigrane, est oublié.
- Chaque peinture est un travail de strates, l'une sur l'autre. Le nouveau passage n'effaçant jamais complètement le travail antérieur.
- Tout ce qui s'y joue se situe sur de multiples plans et ne se perçoit que dans sa totalité.
- Un langage hors des mots et usant pourtant des mêmes moyens : articulations, flux, transitions, glissements, compositions, syntaxe, sens...
Et comme ce que je cherche existe à peine, comme l'essentiel est un presque-rien, un je-ne-sais-quoi, une chose légère entre toutes les choses légères, cette investigation forcenée tend surtout à faire la preuve de l'impalpable ; on peut entrevoir l'apparition, mais non la vérifier puisqu'elle s'évanouit dans l'instant même où elle apparaît, puisque la première fois est aussi la dernière. La deuxième fois est la répétition minimale requise pour une vérification…
Vladimir Jankélévitch
« Quelque part dans l'inachevé »
www.lesite c'est :
www pour who(qui) what (quoi) when (quand).
lesite, parce que c'est le lieu de travail et de vie.
Depuis 2001 nous y accueillons des concerts, des lectures, des rencontres et des expositions.